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1600SI/1600SC (ou 2 cousines chipies) 27 juin, 2008

Posté par P7R dans : Technique , 2 commentaires

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Les 2 cousines, la SI verte émeraude avec injection, la SC Jaune vanille avec carburateurs.

Cela me démangeait depuis…34 ans ce comparatif que je n’ai pas lu dans la presse automobile, sans doute parce que la SI était réservée à l’exportation pour cause de dépollution, encore que cette belle vert émeraude de notre ami Stéphane ait été vendue en France et fait toute sa carrière (y compris de la compétition) dans l’hexagone. Pour la petite histoire, mais ceci est une autre histoire l’ami Stéphane a pisté cette berlinette pendant des années…car une berlinette cela se mérite.

A l’occasion de la coupe des Alpes, nous avons fait étape chez Stéphane dans son charmant chalet sur les hauteurs d’Annemasse et les routes pour rejoindre son nid d’aigle sont particulièrement chaleureuses pour nos Alpine et avant le diner avec Stéphane nous avons échangé nos baquets pour faire une balade afin de nous mettre en appétit, tandis qu’Alain était à l’objectif.

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En route pour un petit tour.

A priori il s’agit des mêmes voitures, partageant le fameux chassis poutre avec le train arrière récupéré de la A310, même intérieur mariant le plastique noir brut de fonderie et la moquette, un tableau de bord où on a tout sous les yeux autour du petit volant en prise sur une direction précise  qui invite à l’attaque permanente (bigre tout ceci est diablement politiquement incorrect), seul le moteur les différenciant et effectivement c’est bien là que réside la différence absolue dans le comportement des deux cousines.

Et pourtant c’est le même moteur en provenance du R12 Gordini de 1605 cm3 (78x84mm) développant 140 CV SAE ou 128CV DIN à 6250 tours/m, mais le comportement et les sensations ressenties sont directement liés au système d’alimentation : 2 carburateurs Weber 45DCOE pour la SC et un système d’injection pour la SI, et tout est dit.

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Le 1600SC avec ses Weber qui participent à la symphonie et son cache culbu Alpine en Alu. Sur la SI cache culbu hérité de la R17TS (?) et le système d’injection.

Je m’introduis difficilement dans l’habitacle de Vert émeraude sans doute parceque les Mod’Plastia grand confort avec appuie tête prennent plus de place que les Mod’plastia base, mais je retrouve rapidement mes marques. Je n’entends presque pas le moteur mais il tourne rond et répond tout de suite à la sollicitation de l’accélérateur. Dés les premiers tours de roues j’ai une sensation de souplesse et de confort, la pédale d’embrayage ne demande aucun effort, les vitesses passent comme dans du beurre, la suspension absorbe en douceur les inégalités de la route. Mais dans les virages serrés j’hésite constamment entre la 2ème et la 3ème car si le moteur monte bien dans les tours en dessous de 4000 c’est lent, puis après cela bondit l’aiguille du compte tours voulant atteindre les 7000. Premier freinage appuyé, la pédale est un peu spongieuse mais la voiture ralentit. Ce qui m’impressionne c’est le silence et le confort, je dirai que la SI est plus typé GT que la S ou la SC. En tout cas sur ces petites routes de montagne je me régale de suivre Jaune Vanille que j’ai rarement l’occasion de voir sous cet angle.

Quand je reprends le lendemain le volant de Jaune Vanille pour me rendre au départ de la Coupe des Alpes, j’ai l’impression de conduire une autre berlinette, moins confortable, moins silencieuse, mais collant à la route et surtout avec des reprises en sortie d’épingle dés 2000 tours et avec pour conséquence une boite de vitesse mieux adaptée. Sur la SI on hésite toujours entre 2 ou 3, alors que la SC permet de faire les montées en 3, seuls les épingles serrées appelant la 2. Quant au freinage il est plus brutal et plus efficace mais sans doute la conséquence du montage de flexibles avia l’année dernière.

Et alors me direz vous laquelle choisir ? question doublement stupide comme calva ou poire, car le plus important ce n’est pas la rose, mais d’en posséder une ; alors qu’elle soit verte ou jaune…ou même bleue Alpine, carbus ou injection l’important c’est de rouler avec nos légendes.

 

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Si si , c’est bien P7R au volant de Vert émeraude.

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Stéphane très appliqué au volant de Jaune Vanille

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Symphonie colorée de berlinettes.

COUPE DES ALPES 2008 (vue par Alain) 21 juin, 2008

Posté par P7R dans : Récits , 7 commentaires

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Alain est non seulement un excellent navigateur, se faufilant à travers les petits pièges du roadbook , un bon compagnon de voyage, un joyeux drille capable d’inventer l’appellation  non contrôlée de « tête à FAP »,mais c ‘est aussi un excellent photographe et il vient de me faire parvenir un CD des photos prises par lui et qui donnent un autre angle au sens propre comme au sens figuré à cette édition de la Coupe des Alpes. Suivons donc l’objectif de l’ami Alain.

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Tant qu’on peut s’introduire…ou s’extraire d’une berlinette il y a de l’espoir.

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Stéphane fait un essai de Jaune Vanille

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tandis que P7R teste vert émeraude.

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Avant le départ les pt’is jeunes font les fanfarons !

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Une brochette d’A110.

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Une brochette de 911.

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Quel plaisir de suivre une A110 Groupe IV avant qu’elle vous lache en donnant la cavalerie.

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En suivant la 1600S de Rédélé-Mancel et cette fois pas question de se faire larguer avec puissances identiques.

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A tous les arrêts c’est un plateau de rêve pour les spectateurs.

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P7R et Jean-Charles Rédélé en grande conversation autour d’une R8 Gordini.

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James Bond était de retour lui aussi.

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P7R et JV se prépare pour le départ à Méribel.

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Dans la descente du Cornet de Roselend toujours derrière la 1600S de Rédélé-Mancel.

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P7R surpris en pleine drague de Sandrine Miss Ferrari 512.

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Toujours P7R cette fois avec Madame Alpine A110 1800 ; il sait soigner ses relations l’heureux proprio de JV !

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Bigre ! il y a encore moins de place que dans Jaune Vanille !

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On croit rêver , car on se fait doubler dans le Galibier par une Cox ! renseignement pris le moteur est un Porsche 914 de plus de 200CV.

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La coupe des Alpes vue de la place du co-équipier.

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Col de Vars même endroit que l’année dernière, mais cette fois ci P7R constate que la commande hydraulique d’embrayage tient bon.

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A l’arrivée sur le port de Juan les Pins.

 

 

 

 

COUPE DES ALPES 2008 (des photos pour patienter) 20 juin, 2008

Posté par P7R dans : Récits , 235 commentaires

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Il faut me laisser un peu de temps pour ingérer la masse de toutes les anecdotes, des péripéties et des incidents de cette épreuve hors normes que chaque année Rallystory fait revivre sur des parcours légendaires pour 150 voitures qui soit directement (l’année dernière la Mini Cooper de Paddy Hopkirk, cette année l’Alfa-Roméo Tubolare de Bernard Consten, lui même au volant) soit indirectement (A110, Porsche, Jaguar, Austin-Healey, Alfa-Roméo etc..) ont participé à la fabrication de la légende, donc du temps pour faire un récit. Et pour vous faire patienter amis lecteurs je vous livre quelques photos à déguster pour vous donner envie aussi de tutoyer la légende. 

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Un plateau de rêve au départ à Evian, où on devine Jaune Vanille accompagnée de Vert émeraude.

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Le plateau vu sous un autre angle.

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Les concurrents en train de « coursifier » leurs autos en apposant plaques de rallye et numéros.

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Patrick et Alain tout heureux à la pensée de se farcir autant de cols en trois jours.

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La rare et exceptionnelle Alfa-Roméo Tubolare avec laquelle Bernard Consten a gagné la Coupe des Alpes en…1958.

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Une belle brochette de berlinettes pour maintenir la légende : la 1600S bleu alpine de Rédélé-Mancel, la 1800 Gr.IV de Chambord et Mme, la 1600SC de P7R et de Courval et la 1600SI de Stéphane.

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C’est enfin le départ tant attendu, avec un bel embouteillage, chauqe équipage étant libéré toutes les 30 secondes ; en route vers la légende.

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La doyenne du plateau, un cabriolet BMW 328 de 1938 développant 125 cv, ici départ à la poussette suite à un démarreur défaillant mais elle terminera le parcours.

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Un troupeau de 200 vaches en transhumance cela vous bloque le rallye plus sûrement qu’une opération escargot des poids lourds en colère.

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Un dernier coup de volant pour se garer devant les 2 911 et apprécier l’extraordinaire panorama.

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En haut du Galibier ce jour là la visibilité était exceptionnelle.

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En haut du col de Vars photo prise sous le même angle au même endroit Alain remplacant Daniel dans la même posture, quand nous étions en panne de circuit hydraulique d’embrayage.

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Chambre avec vue où ce que je peux découvrir du balcon de la chambre au petit matin.

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La superbe A110 Gr.IV d’Eric Chambord (ex Nusbaumer) sortant d’une restauration de haut niveau : un chef d’oeuvre.

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C’est beau, c’est propre, c’est efficace, c’est puissant : 176 CV DIN pour cette A110 1800.

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Bernard Consten, 78 ans au volant de cette Alfa Roméo Tubolare avec laquelle il a gagné il y a …50 ans !

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La Coupe des Alpes c’est aussi des séances de mécanique lourde comme sur cette Ferrari 512 avec l’intervention de l’assistance.

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Ou plus légère où ici l’équipière avec un marteau tape par en dessous sur le démarreur de cette 914 pour débloquer les charbons.

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Tout cela pour arriver sur le port de Juan les Pins comme cette sublime BMW 328 6 cylindres…

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ou cette non moins sublime Lancia Aurelia en version cabriolet avec son très caractèristique parebrise panoramique et pilotée par Madame.

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Et un soleil éblouissant accompagne le sourire de cette charmante toute contente avec son papa d’avoir amené une Ferrari 512 à l’arrivée.

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Et Jaune Vanille pour la 3ème année consécutive pose à l’arrivée avec son équipage Alain et Patrick, toute fière de son moteur totalisant 146000kms qui n’a posé aucun souci, du moins sur le parcours lui-même, les incidents ayant été réservés à l’aller et au retour.

Voici donc un résumé en photos de l’édition 2008 en espèrant que beaucoup de passionnés ayant des Alpine aient envie de rejoindre l’année prochaine notre petite mais vaillante escadrille de 3 berlinettes, la 1600s de Rédélé-Mancel, la 1800 de Chambord et Madame et la 1600sc de Seitert-de Courval.

 

MECANIQUE OU ELECTRIQUE (histoires de pompes) 4 juin, 2008

Posté par P7R dans : Technique , 12 commentaires

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Comment bien alimenter les 2 gros carbus double corps Weber ? question terriblement existentielle et qui divisent en 2 camps les proprios de berlinettes avec les pro-électricité et les pro-mécanique, et comme toujours chaque formule ayant des avantages et des inconvénients.

Tout le monde est d’accord il faut pomper l’essence du réservoir pour alimenter les carbus, et en dehors du système antique basé sur le principe de Newton avec un réservoir plus haut que le carburateur, il faut passer par une pompe qui aspire l’essence du réservoir et la refoule vers les carbus.

1) Pompe mécanique : d’origine les berlinettes A110 tous types confondus (à l’exception de la 1600SI) ont une pompe mécanique dont le pied est actionné par une came prise sur l’arbre du même nom ; le principe est simple, dès que le moteur tourne actionné par le démarreur, l’arbre à cames tourne entrainant le pied de la pompe qui agit sur la membrane pour aspirer l’essence et la refouler vers les carbus. Le gros avantage de ce type de pompe réside dans sa simplicité, mais il y a inconvénient majeur, après un arrêt prolongé il arrive qu’on vide la batterie à vouloir amorcer la pompe. Pendant ma vie avec JV avec pompe mécanique j’avais pour cela une petite astuce : avec une seringue je remplissai en démontant les 2 petits chapeaux circulaires les Weber en essence.

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Pompe mécanique selon montage usine en 1974.

2) Pompe électrique : il y a 5 ans je me suis décidé à monter une pompe électrique de marque allemande Hardy en provenance de chez Mecaparts qui résout le problème du démarrage à froid ; contact et on entend la pompe qui ronronne pour gaver les carbus et démarrage au quart de tours. En plus j’ai le sentiment (peut-être subjectif) que lorsqu’on est à l’attaque surtout dans les épingles de montagne, le moteur repart mieux sans ratés. C’est sans doute pour cela que les berlinettes usine étaient équipées d’une pompe électrique installée sur le chassis à la hauteur de la pompe à eau.

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Mon premier montage de pompe électrique, mais la pompe positionnée trop haut avait du mal à récupérer les derniers litres dans le réservoir.

3) Astuces de montage d’une pompe électrique :

Dans le manuel de réparation Alpine il est conseillé dans le cas du montage d’une pompe électrique de garder la pompe mécanique en place…ne serait ce que pour avoir une pompe de dépannage. On conseille aussi d’installer la pompe électrique le plus près possible du réservoir pour qu’elle ne perde pas de temps à aspirer (c’est le cas de la 1600SI, des A310 , GT, GT Turbo et A610) et en contradiction avec cette règle comme indiqué ci-dessus les berlinettes de l’usine avaient leur pompe dans le compartiment moteur. Pour ma part j’ai installé la pompe électrique  à l’intérieur de l’aile arrière gauche, endroit sec et opposé à la chaleur de l’échappement. On peut prendre le courant sur la borne + de la bobine ; j’ai opté  en plus pour un interrupteur au tableau de manière à pouvoir couper INSTANTANEMENT l’arrivée de l’essence en cas d’urgence. Il ne faut pas oublier de monter un filtre entre le réservoir et la pompe et s’arranger de le mettre à un endroit accessible pour pouvoir le remplacer facilement.

 

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Pompe électrique montée sur JV il y a 5 ans selon 2ème montage, sous les carbus, à l’intérieur de l’aile arrière gauche. Les fils vert et rouge qui sortent de la gaine vont à l’interrupteur au tableau de bord.

OUTILLAGE SPECIAL (pour faciliter le taf)) 3 juin, 2008

Posté par P7R dans : Technique , 6  054 commentaires
La mécanique de la berlinette est simple et assez basique et ne nécessite guère d’outils spéciaux. Toutefois à l’usage certaines « spécialités » facilitent la vie du bricoleur passionné qui fait lui-même la mécanique. Voici donc mes petits outils spéciaux pour A110.dsc01939.jpg 

Outil A : clé à oeil de 11 légèrement tordue pour avoir accès plus facuilement à l’écrou qui commande le blocage de la tête d’allumeur lors du calage d’avance.

Outil B : clé de 17 en escalier pour démonter le mano contact d’huile sur le moteur. Sans cette clé impossible de démonter le mano. Toutefois en 34 ans je n’en ai eu besoin…qu’une fois d’où la nécessité de m’en faire une en partant d’une clé plate pour tronçonneuse.

Outil partie C + partie D : clé spécial Alpine, à l’époque livrée avec la voiture ; sans cette clé il est quasiment impossible de remplacer les bougies des cylindres n°2 et 3, à moins de faire des trous dans la carrosserie.

Outil E : Clé pour desserrer-reserrer le filtre à huile.

Outil F : le couteau suisse avec le mini-tournevis très utile pour la micro-visserie des instruments de bord.

Outil G : clé spéciale pour le réglage des culbuteurs, outil particulièrement pratique.

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Cette clé est surtout utile et efficace pour régler les culbuteurs des cylindres 1 et 2.

Outil H : lampe-témoin fabriqué à partir d’un clignotant moto, pour le calage statique de l’avance ou un controle d’arrivée de courant.

Outil I : outil à tout faire, à partir d’une corde à piano, pour retirer les cerclages de phare, récupérer un écrou ou une rondelle….et surtout pour faire baigner le Zippo dans le réservoir pour recharger en essence le briquet du Chef.

Avec ces outils et la trousse habituelle on est en général paré pour pouvoir s’en sortir avec  une berlinette, sans oublier que le chiffon miracle et l’huile de coude pour que le moteur soit nickel.

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