CRURALGIE HIVERNALE (SUITE) 31 décembre, 2008
Posté par P7R dans : Humour , 14 commentairesDans le cadre de mes soins réguliers pour chasser ma vilaine petite cruralgie (qui se porte bien merci pour elle) j’avais rendez- vous avec le sorcier aux mains de fée c’est à dire le célébrissime Marc, kiné du Modérateur du FAR Gwengui, et ce matin alerte météo sur l’Ile de de France avec neige et verglas. Damned ! J’ai l’habitude de me rendre chez Marc en Harley Davidson haute époque (Electra Glide avec moteur Evo et carbu US) mais ce n’est pas le genre de moyen de locomotion à l’aise avec son poids sur des routes glissantes. Hésitation car sortir Jaune Vanille alors qu’elle vient de subir une cure de jouvence avec séance de polish ne me semblait guère « kulturny ».
En fait l’arme absolue sur la neige c’est….un side-car car les roues en triangle font qu’il est quasiment impossible de faire un tête à queue et le bon vieux freinage par freins à tambour (pas beaucoup de puissance) permet de gérer les freinages sur la neige sans le recours à un système ABS de toutes façons inefficace.
Mon side-car est composé d’un tracteur une BMW version R69S de 1968 attelé à un chassis Précision équipée d’une coque Bufflier à très rare queue de canard.
La ravissante queue de canard du panier Bufflier 1930.
Je vois déjà certains puristes tiquer sur le fait que le tracteur soit une R69S un peu comme si on installait un crochet pour tracter une remorque derrière une Ferrarri ou une Porsche. Mais pour quelqu’un qui a tracté une remorque avec un Flying-Dutchman derrière sa berlinette à travers toute l’Europe (voir article dans le Blog) cela va dans l’ordre logique des choses abracadabrantes. Et puis j’adore cette vénérable BMW sans démarreur…et qui donc démarre au kick quelque soit la température ou le temps d’interruption. Il n’est pas question d’avouer que je suis un kicker fou à Dame Potiron (qui est le nom un peu déguisé de ma rhumatologue) car elle penserait à m’indiquer plutôt les soins d’un psy.
il y avait assez de neige pour éxécuter quelques exercices de style.
Après avoir surpris quelque peu Marc par mon arrivée en tenue de cosmonaute, car par grand froid, je m’impose une règle intangible je ne me déshabille (et l’inverse aussi) qu’au chaud et lui avoir confié ma jambe qui hésite toujours entre le repos éternel et quelques dernières gambades tardives comme on parle de vendanges du même qualificatif, j’ai derechef surpris le même Marco en lui disant qu’il me fallait partir à la recherche de quelques zones bien enneigées afin de me livrer tel un Candeloro sans son Nelson Monfort à quelques arabesques sur zone glissante. C’est du coté du lac où ont été prises ses photos où j’ai pu sous les applaudissments de quelques canards patinant sur cemême lac me livrer ainsi à l’un de mes vices secrets. Pas de spectateurs pour apprécier fort heureusement car je tenais tout de même à passer le réveillon en famille.
La traçe de la roue arrière est bien régulière, guidon légèrement à gauche avec filet de gaz.
Toutes les bonnes choses ayant une fin où plutôt une faim car j’étais attendu pour un déjeuner par 4 femmes dont la mienne et ma fille, il me fallait rentrer et passer sus les fenêtres de Paul-Henry et Alexis..qui ont d’ailleurs noté le passage du bonhomme à voir leur commentaire. En tout cas ils sont revenus de batifoler du Limousin.
L’engin arme absolue sur la neige !
JAUGE A CARBURANT CAPACITIVE PHL 30 décembre, 2008
Posté par P7R dans : Technique , 266 commentairesExtraction de berlinette réussie par PhL ou le test de la jeunesse éternelle.
Tous les véritables amoureux d’Alpine d’Ile de France et de tout autre territoire découvert à marée basse connaissent au moins de réputation Maître PhL, alias Philippe LOUTREL, ingénieur élec. de formation et inventeur de nombreux accessoires en vue d’améliorer le fonctionnement de nos berlinettes comme l’AEPL ( allumage électronique philippe loutrel).
Cette fois ci, agacé par les indications pifométriques de la jauge traditonnelle à balancier pratiquant le grand écart entre virage à gauche, montée ou descente, il a mis au point THE système : la Jauge à essence capacitive. Cela dépasse mes compétences pour vous expliquer clairement le fonctionnement alors je vous conseille de vous connecter au site ci-dessous :
http://a110a.free.fr/SPIP172/article.php3?id_article=29
PhL surpris en train de tester un aspect « capacitif » de liquide de qualité, apparemment dans le cadre de la trés caritative réunion de Gazoline.
TENTATIVE DE COMPRENDRE L INCOMPREHENSIBLE 26 décembre, 2008
Posté par P7R dans : Polémique , ajouter un commentaireTrès rare et UNIQUE spyder A110 sur base 1600S.
En exergue à cet article je voudrais citer :
Jean Rédélé (2005) : « il vaut mieux investir dans une Alpine qu’en Bourse »
Thomas Jefferson (1802) :
« Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession, d’abord par l’inflation, ensuite par la récession, jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison, sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquise ».
Petit fils de banquier (mon grand-père a dirigé le Crédit du Nord au début du siècle dernier) fils de banquier (mon papa a fait toute sa carrière à la Banque Franco-Chinoise) oncle d’un banquier suisse (mon neveu après de longues années comme cadre à l’Union des Banques Suisses gère son propre cabinet en investissement) ayant fait des études commerciales mais ayant choisi des chemins de traverse qui m’ont finalement amené à diriger une PME d’une dizaine de personnes dont la fonction consistait dans le négoce et l’entretien des motos d’une marque connue de l’autre coté du Rhin. Je me sens à la fois intellectuellement capable de comprendre cette crise financière et en même temps complètement abasourdi par son déroulement et surtout le cocktail d’aveuglement, d’incompétence, de manque de morale, d’inconscience des hauts responsables.
Il me semble que la dérive doit remonter à une trentaine d’années quand chacun faisait son métier et où il n’y avait pas de mélange des genres. Il y avait des banques de dépôt pour gérer les intérêts, les besoins,et les différentes opérations des particuliers et des entreprises. Puis des banques d’affaires pour s’ocupper de la stratégie des grands groupes, des rapprochements et des rachats, ainsi que de la gestion des grandes fortunes. Et enfin les assurances avec pour les épargnants des contrats d’assurance-vie.
Tout s’est emballé quand en brandissant les bannières « Big is beautiful » « Mutualisation des risques » « Economie d’échelle » une série de regroupements et de rachats a donné naissance au concept de Bancassurance. Et surtout à l’intérieur des ces nouveaux monstres la montée en puissance des financiers qui rêvaient de faire plus d’argent avec de l’argent aidés en cela par les actions conjointes de la Fée Informatique et de sa cousine la Fée Internet. Normalement l’honnête homme aurait dû s’interpeller de découvrir que des « golden boys » pouvaient accumuler en quelques mois une fortune que nos parents mettaient parfois une ou deux générations de labeur pour y arriver. On venait d’entrer dans l’économie virtuelle.
Mais le sida fiancier avait déjà touché l’économie réelle quand dans les entreprises les directeurs financiers ont eux aussi pris le pouvoir et démontré à leur direction et aux actionnaires que les liquidités de l’entreprise investis dans des Fonds rapportaient plus que le métier historique de l’entreprise, entrainant ipso facto une valorisation faussée.
Il faut ajouter à cela le régne de l’opacité comme un jeu de bonneteau à travers des concepts sensés rassurer l’épargnant ou l’investisseur partant du plus simple, SICAV (société d’investissement à capital variable) aux OPCVM (organisme de placement collectif en valeurs mobilières) en passant par les FCP (Fonds commun de placement) le tout normalement contrôlé par des organismes gouvernementaux jouant le rôle de gendarmes, la SEC aux Etats Unis, l’AMF en France, et à la lueur des événements un seul cri : « mais que fait la Police ? »
Le scandale Madoff et l’affaire Kibeski ne sont que les premières illustrations, sans doute la partie visible de l’iceberg, de la dérive de la finance mondiale entrainant avec elle crise économique et sociale, car tout se tient.
De même que lors de l’arrivée du SIDA les esprits bien pensants pouvaient se rassurer en se disant cela n’arrive qu’aux homos, je suis atterré de voir dans mon entourage beaucoup me dire c’est bien fait pour tous ces spéculateurs, ils ont joué, ils ont perdu, sans réaliser les malheureux qu’à l’insu de leur plein gré ils sont eux mêmes les victimes de ce sida financier à travers leur plan d’épargne, leur contrat d’assurance-vie. Car un Fonds s’appuie sur des Fonds qui s’appuient sur des Fonds qui doivent finir au choix dans le FSF (Fonds sans fond) ou le SY Fond.
Selon tout bon auteur policier de Chandler (Raymond) à Chase (James Hadley) en passant par Mac Bain (Ed) il faut chercher à qui le crime profite. Alors dans un scénario catastrophe j’imagine un Basam Dadu (le dictateur sanguinaire du Secret de l’Espadon d’ Edgar. P .Jacobs) un Docteur No (voir les aventures de Bond (James) ou tout simplement Ben Laden terré dans une caverne ou sur une ile déserte avec une batterie de super-ordinateurs nourris de logiciels hyper-performants en train d’aspirer toute la richesse de la terre, c’est à dire touts ces milliards virtuels ou réels qui se volatilisent pour apparaitre au grand jour et nous annoncer que nous sommes les esclaves du nouveau Grand Maître.
PS : Cet article sans queue ni tête est dédiée à nos élites sorties des grandes écoles avec beaucoup d’hésitation dans le choix des qualificatifs dont nous devons les affubler : incompétents ? irresponsables ? malhonnêtes ? pourris ? véreux ? avides ? cupides ? inconscients ?
PS : à ce jour un seul financier ayant le sens de l’Honneur en a tiré les connséquences certes dramatiques, mais pas d’avalanches de démission chez les hauts responsables.
PS : Madoff est sous haute protection policière du FBI, à croire qu’une « famille » new-yorkaise ait investi dans son Fonds et donc lançé un contrat.
PS : La garde à vue de Jean Kibeski a été prolongée.(sans doute dans le souci de faire la vérité)
PS : Plusieurs victimes dans le cadre d’une « class action » viennent de porter plainte contre la SEC, ce qui fait que si un Tribunal leur donne raison c’est l’Etat Fédéral (et donc le contribuable) qui devra payer la note !!!
PS : Je sais comme Conte de Noêl c’est un peu lugubre mais moins que celui du Père Noêl qui se prenait pour une ordure et qui a occis toute une famille.
UN CONTE DE NOEL VERIDIQUE. 25 décembre, 2008
Posté par P7R dans : Humour , 1 commentairehttp://fr.youtube.com/watch?v=Y1GPxcxrBkI
Vendredi soir :
Les lendemains de Noêl sont traditionnellement jour de récupération pour le Père Noêl et ce dernier somnolait au coin du feu de cheminée, d’autant qu’au dehors il gelait à pierre fendre. Le téléphone insistait, sonneries lancinantes et répétitives, alors d’un geste las le barbu décrocha :
- »Assistance Père Noêl j’écoute »
- » Help ! je devais aller avec mon roadster MGB dans le Limousin… »
- »Excusez moi jeune homme, mais dans le Limousin, surtout l’hiver il est céans de se rendre en limousine… »
- » Oui certes mais j’ai un roadster… »
- »un roadster c’est fait pour roder, pour draguer, pour batifoler… »
- »Justement donc en partant batifoler vers le…Limousin quand le moteur s’est mis à ratatouiller, à patatouiller, à pétarader.. »
- »Est ce que cela patatouille ou est ce que cela ratatouille ? Soyez clair et précis cela aide pour le diagnostic ! »
- »Je ne sais plus quel terme exact utiliser pour décrire le mal, mais en tout cas le moteur ne va nous permettre de nous rendre dans le Limousin où nous sommes attendus »
Le Père Noêl partant de ce vieux principe que « femme et moteur ne sont que joies et douleurs » et que la réparation téléphonique marche parfois pour une connexion internet mais rarement pour un patatou-ratatouillage de vieille et honorable british lady décida donc de se rendre sur place. Pour cause de RTT et de 35 heures le traineau et les rennes étant au repos dans le Brie sous la garde de la mère Martine( se trouvant donc elle aussi ipso facto au Brie) il enfourcha donc sa vieille HD Electra Glide avec la trousse à outils pour retrouver Alexis et Paul-Henri fort marris et quelque peu angoissés devant leur roadster capot ouvert.
Quand les rennes et le traineau sont de repos le barbu enfourche ce gros V2 aux « good vibrations »
Constatation évidente le moteur est bien en état de ratatou-patatouillage ce qui peut êtrele fait d’ une mauvaise arrivée d’essence et/ ou d’ un allumage déficient. Contact, la pompe électrique (une Lucas qui a définitivement remplacé la Moildar capricieuse et of course shocking en Albion) débite suffisamment pour alimenter les deux carburateurs SU. Coté allumage cela se complique car l’ingénieur concepteur sans doute apparenté à un technicien shadock a frappé l’index sur la poulie de vilebrequin sur la lévre intérieure le tout masqué par une barre de maintien du train avant. Conclusion pour bien caler l’avance il vaut inévitablement jouer en double comme au tennis, l’un à l’allumeur avec la lampe témoin l’autre sous le moteur avec lampe électrique et clé entre 29 et 30 (because mesure british) pour tourner la poulie. Bref le calage est une aventure en soi même et une fois réussie, petite amélioration, cela ne patatouille plus, mais pétarade désormais dans les tours.
L’allumeur est moyennement accessible, quand à la poulie de vilo il faut ramper dessous le moteur.
Diagnostic : rupteur ou condo, mais les jeunes propriétaires n’ont pas ces pièces en stock et comme le Père Noêl est venu sans sa hotte, rendez vous est pris pour le lendemain sous réserve de trouver en plein week-end les pièces à priori fautives.
Samedi après-midi :
« allo Père Noêl, vous pouvez venir vérifier, avec pièces neuves origine Lucas, patatouille et ratatouille se sont évanouies » Cette fois le barbu a pris son autre traineau, une BMW 69S attelée pour aller vérifier que tout était en bon ordre de fonctionnement et que la route du Limousin pouvait être envisagée pour ce roadster MGB.
Traineau spécial pour dépannage hivernal.
Effectivement une fois ces pièces vitales changées le moteur tournait voluptueusement et montait dans les tours avec une telle joie que n’importe quel mécréant mis devant l’évidence ne pouvait nier que Dieu existe.
Moralité n°1 : Si le Père Noêl peut être une ordure en Californie, il peut se révéler compétent à Versailles et dans les territoires adjacents découverts à marée basse..
Moralité n°2 : les pièces d’origine sont en général nettement plus efficaces et fiables que celles que la mondialisation fait naitre dans des pays lointains pour cause de prix imbattables. Et il faut souligner la gentillesse du responsable du magasin spécialiste des « british parts » en plein inventaire qui a accepté de fournir le condensateur et le rupteur. Et donc le Père Noêl existe de manière « ubiquitaire ».
Conclusion à ce conte de Noêl : Alexis et Paul-Henri pourront ainsi en plein hiver aller batifoler en roadster racing british green sur les routes limousines.
Remerciements : « Assistance Père Noêl » tient à remercier Maître PhL pour la piste électrique et plus particulièrement la vérification de la tête d’allumeur, du rupteur et du condensateur, et l’ami de 40 ans Daniel esquire ex Cooperiste distingué et fournisseur de conseils éclairés sur le fonctionnement abscon des carburateurs SU.
Note de la Rédaction : Tout ce qui a été relaté ci-dessus est rigoureusement exact jusque dans les moindres détails, car le vieux barbu ne saurait mentir.
A nous le Limousin…et ses petites limousines (ha! les vaches !) semblent penser Alexis et Paul-Henry.
JAGUAR MARK V (à l’origine de la LEGENDE)
Posté par P7R dans : Histoire , 153 commentairesLa guerre est terminée, l’Europe se reconstruit lentement et l’Angleterre qui a terriblement souffert reste toutefois le centre du monde automobile et en particulier de la voiture de haut de gamme comme l’illustre cette merveilleuse Jaguar Mark V du début des années cinquante.
Le modèle Mark V (prononcer Mark Five ) est présenté à Londres en 1948 en même temps que le roadster XK 120, mais avec l’ancienne motorisation (2l5 pour 104 cv et 3l5 pour 125 cv) c’est à dire un 6 cylindres en ligne avec arbre à cames latéral. Le modèle présenté ici est équipée du gros moteur permettant d’atteindre la vitesse ahurissante pour l’époque de 150 km/h. Cette Jaguar appartient à l’ami Carlos qui a fait une restauration complète et de qualité ce qui fait qu’elle est aussi proche que possible de l’état au moment de la sortie d’usine.
une ligne intemporelle, un grand classique du « saloon car » britannnique.
De nos jours on reste stupéfait par la perfection de la ligne et le confort et le luxe de l’intérieur, ce charme anglais inimitable avec le subtil mélange de cuir Conolly et de bois précieux le tout dégageant une odeur subtile comme un rare tabac pour pipe. En la rencontrant en ce jour de Noêl, c’était un cadeau tombé du ciel et je me suis retrouvé petit garçon quand mon oncle Tony, qui lors de la première guerre mondiale en tant qu’officier de liaison avec l’armée anglaise avait fait connaissance et épousé une anglaise tante Chris et de ce fait ne pouvait rouler qu’en voiture anglaise, venait me chercher au pensionnat pour la sortie du dimanche. Par rapport aux Tractions, 203, ou Ford Vedette des parents de mes petits camarades je me sentais vraiment installé en classe supérieure. Quand nous nous rendions dans la propriété familiale dans le Nord en baie de Somme la route était coupée de nombreux passages à niveau et à chaque fois la Jaguar stoppait et soit ma tante soit moi même nous avions pour mission d’aller vérifier qu’un train n’avait pas échappé à la vigilance du garde-barrière et ainsi de suite ce qui fait que le trajet prenait une bonne journée.
le très classique et complet tableau de bord.
Tout cuir à l’intérieur, patiné par les années, mais toujours l’odeur.
Un bon vieux moteur 6 cylindres culbuté développant en version 3l5 125 CV SAE pouvant propulser la très honorable Lady à 150 km/h.
Le coffre arrière cache un secret…
…dans la contre-porte du coffre, une trousse à outils car on savait voyager et prévoir en ce temps là quand portable et « allo assistance à votre service » n’existaient pas et uqe le voyage était une aventure.
dans le doux murmure du 6 cylindres, sublime et majestueuse la Jaguar de l’ami Carlos disparait dans le crépuscule de cette journée de Noêl.