ELISE ET MOI (Lotus crue ?) 1 février, 2009
Posté par P7R dans : Catégorie Générale , 1 commentaire»Elysez moi » clamait Sarko, « Elysez moi » reprenait Ségo, Elyse et moi vous dis je ce jour et pour ceux qui ricanent en pensant à ma souplesse de verre de lampe et mes genoux rouillés, je maintien Elise et moi avec photo à l’appui, je suis entré, j’ai vu…et réussi à sortir.Lutuscrou ou Lotuscru ? Bon comme toujours tiré par les cheveux les neurones à cette heure tardive étant désormais sous influence.
Un peu engonçé certes le P7R, surtout avec triple épaisseur de laine pour cause de thermomètre frisant le zéro, une voiture de djeunes cette Elise.
J’ai toujours considéré que Jean Chapman et Colin Rédélé devaient être cousins et partager ainsi un certain nombre de valeurs en partant du principe que dans la recherche du rapport poids/puissance il fallait privilégier le premier facteur, tout le reste feins, maniabilité, tenue de route en découlant, et si possible en prenant un moteur de grande série afin d’avoir aussi un bon rapport prix-performances. Et je ne me parjure point en disant que j’ai toujours estimé que la Lotus Elise était en quelque sorte une berlinette moderne ; la preuve 700kgs, 125CV cela ne vous dit rien chers Alpinautes ? Grosso modo les mêmes chiffres que pour une 1600S.
Spécialité de cette Elise, conduite à droite et ayant appartenu à un authentique Lord anglais. God save Lotus !
Les lecteurs assidus et un peu amateurs de logique doivent se dire, c’est évident, il se sépare de sa SM et de son A610 pour faire le jeunot dans cette voiture qui lui va comme un cercueil. Que nenni ! Vous souvenez vous des 2 frangins versaillais au cabriolet MGB en green british racing et qui apparaissent ici dans plusieurs articles et en particulier dans « un conte de Noêl » ? Après l’intervention mécanique de Père Noel Assistance ils sont partis dans le Limousin en cabriolet (je précise bien en cab pour celui qui insisterait pour chanter dans le Limousin en limousine ou pour parler d’une nana qui était entré dans le lit d’un certain monsieur Mousin) dans l’idée d’y vendre leur anglaise et de la remplacer par une Porsche 911 toute l’opération sous l’égide d’un négociant spécialisé dans le commerce des voitures de caractère. Et en toute logique ils sont revenus du Limousin, toujours en cab, toujours en anglaise, et une vraie de vraie de bristish estampillée par la conduite à droite et un précédent propriétaire authentique Lord anglais et atteint par la limite d’age. Découvrant que je partageai avec ce Lord inconnu l’amour pour certaines valeurs et le même age, la première chose que j’ai demandée aux 2 frangins Paul Henry et Alexis quand ils sont venus me présenter leur bijou, a été la premision de m’introduire, de m’y installer et surtout de m’en extraire. Mission réussie.
Moteur Rover en position centrale arrière de 125 CV.
Il est à prévoir que cette jolie Lotus sera revue lors d’un prochain Gazoline avec les 2 frangins et je les remercie de cette visite imprévue qui a été un rayon de soleil d’un dimanche hivernal frisco-tristounet.
Alexis et Paul Henry en route pour de nouvelles aventures.
LOT A VENDRE : A610 + SM MASERATI 31 janvier, 2009
Posté par P7R dans : Catégorie Générale , 4 commentairesALPINE A610 TURBO 1992
CITROEN SM MASERATI CARBUS 1972
Attention cet article ne doit pas être pris en compte pour le moment suite à une évolution de la situation elle même en relation étroite avec le cours des actions d’une société fabriquant des igloos adaptés à l’Afrique.
Bon la situation a évolué et cet article n’est plus de récente actualité car :
1) le cours des actions de la société des igloos adaptés à l’Afrique est remonté suite à la remise en cause par Mr Allègre des théories sur le réchauffement de la Planète.
2) la SM Maserati a été vendue
3) et donc conséquence des points 1 et 2 l’A610 n’est plus à vendre.
GAZO OU GaazAsso ? 22 décembre, 2008
Posté par P7R dans : Catégorie Générale,Histoire , 349 commentairesAu lecteur intrigué par l’ambiguité du titre à la recherche d’un jeu de mots ou d’une contrepèterie cachée dans la fameuse redoute (« La Redoutes des CP » est un ouvrage rare et qui regroupe et inventorie toutes les CP connues) il n’en n’est rien si ce n’est la conséquence d’une conversation instructive avec Nicolas Maillet alias CityHunter qui dans le cadre de la restauration de sa berlinette origine Italie est à la recherche de la couleur « ultime » et pour cela nous a quitté assez tôt de la réunion de Gazo pour se rendre…Dieppe où non loin de l’usine au grand A fléché il avait rendez-vous avec GaazAsso.
GaazAsso est un personnage étrange, original, et atteint d’alpinite aigûe, par ailleurs Gendarme à la retraite (*) et pour se soigner il a réuni une collection de 66 A110 en modèle réduit 1/16ème et surtout il a réussi à déterminer presque toutes les références des coloris des ALPINE et sa quête du Graal devrait se terminer avec le dernier et ultime coloris dont les références devaient lui être comminiquées par un collaborateur du constructeur national qui a connu une longue liaison avec notre marque fétiche.Las en haut lieu il a été considéré qu’un tel renseignement relevait du « SECRET-DEFENSE » ce qui après tout en cette période de survie de l’industrie automobile est fort compréhensible, non mais ! Et puis il y aura toujours des petits chefs pour désirer l’extermination des derniers des Mohicans.
(*) une précision d’importance GaazAsso n’est PAS A LA RETRAITE ! C’est encore une pitrerie de CityHunter !
Après ce salut amical à un membre de la tribu, la réunion était hivernale, avec crachin, plafond bas, bref un temps à rester au chaud sous la couette, moyennant quoi il y avait du monde, beaucoup de monde, des Alpine, beaucoup d’Alpine (7 A110, 3 A310) mais curieusement aucun des dernières de la marque V6 Turbo et A610.
On a noté :
- l’absence du Modérateur Gwengui et peut-être surtout celle de son fameux gateau au chocolat
- l’arrivée d’une nouvelle berlinette , Faz ayant réussi à trouver une 1300VC en Hollande et il était venu pour la présenter.
- le passage de PopOff pour nous montrer des photos de sa berlinette en cours de finition et sortant de l’atelier de peinture : une A110 JAUNE !!!
- le retour de Clouet et de sa A310 rouge 1979 avec un moteur refait à neuf par Nicolas Gozillon ; à ce suet on ne dit que du bien de celui qui est en train de devenir le sorcier du Bois de Feugères.
Et comme déja Dazo est toujours prétexte à la fête, avec les raisons évoquées ci-dessus, la BARlinette était à nouveau de sortie mais avait changé de couleur pour tromper les services spécialisés dans la lutte contre le gibolinisme. Place aux photos.
Une A110 en provenance des Pays-Bas
Le moteur tout neuf de Clouet refait par NG le sorcier de Feugères.
Modèle 1600 SX bleu alpine 1976 (avec moteur R16TX de 95 CV)
Une autre 1600SX celle de l’ami Jacques, sans doute l’une des dernières produites ; Jacques a trouvé cette voiture dans la ville où j’habite, non loin de ma maison et je ne l’avais jamais croisé avant que Jacques en fasse l’acquisition.
Une A310 qui devient rare, une 1600VE donc avec carbus Weber, Bipi en sort et en est très fier.
A priori une « banale » AZ310 V6 mais il faut regarder la photo suivante…
Il ne s’agit pas d’une « Boulogne » mais d’un montage de 2 triple corps Weber avec boite à air originale qui permet d’admirer les cornets. Du beau travail.
Il y a lieu aussi d’admirer la qualité de présentation du moteur de cette V85.
Et comme le veut la coutume, la BARlinette pour fêter l’arrivée de celle qui est derrière en provenance des Pays-Bas.
LE SCANDALE KIBESKI (ou le trou du KUC) 15 décembre, 2008
Posté par P7R dans : Catégorie Générale,Histoire , 2 commentairesLa Porsche du Financier Kibeski devant le siège de la Kibeski United Council Place Vendôme.
Je m’appelle Jean Kibeski et je descends d’une vieille famille noble polonaise ; un de mes ancêtres à la tête de son régiment de hussards s’est sacrifié lors de la retraite de Russie pour sauver les restes de la Grande Armée ; on dit qu’une de mes aîeules Marie a eu des faiblesses pour Napoléon qui comme chacun sait aimait bien les Polonaises. En septembre 1939 mon grand-père Woldemar est mort en chargeant à cheval les chars d’une Panzer division, et ma famille a pu se réfugier en France où je suis né et dont j’ai la nationalité par le droit du sol de naissance. Après des études en sciences commerciales où j’ai vaguement survolé la crise de 29 et dévoilé les rondeurs cachés de mes partenaires de jeu, j’ai un peu bricolé dans la banque et dans l’Informatique, à des postes subalternes me permettant tout juste d’assurer le minimum syndical question train de vie mais me permettant d’admirer ceux qui réussissaient dans ces métiers et de jalouser aussi leurs moyens d’existence.Je me suis dit, avant la crise de la quarantaine (qu’ai je fait de ma vie ?) qu’il me fallait me prendre en main et qu’avec la connaissance et l’expérience acquises il était temps de m’assumer et de créer ma propre société. Tout d’abord trouver un nom, un nom c’est important, c’est ce qui attire l’attention, c’est ce qui donne envie de faire connaissance, c’est ce qui rassure . Après une réunion de brain-storming avec moi-même et une nuit à siroter du calva et à fumer du Dunhill Early morning pipe (ne cherchez aucune connotation sexuelle) j’avais trouvé THE sigle : K.U.C pour Kibeski United Consortium. Certes cela ne voulait rien dire mais cela sonnait bien avec cette petite connotation anglo-saxonne qui bluffe toujours mes compatriotes. Après avoir fait faire une superbe plaque alu « K.U.C conseil en gestion de patrimoine« , je me suis dépêché d’aller la visser sur ma boite aux lettres…et c’est comme cela que j’ai trouvé mon premier client. En fait une cliente en l’occurrence Madame Germaine ma concierge (j’habite dans l’un des derniers immeubles où il y a encore cette personne indispensable pour la relation de la qualité humaine).« Alors Monsieur Jean, comme cela vous vous lancez dans les affaires ! conseil en gestion de patrimoine c’est bien, mais faut être riche… »« Mais non Madame Germaine, chez moi on peut investir à partir de 100 euros et je vous garantis un taux de 8% par an ».Elle court dans sa loge et me remet illico un billet de 100 et pris d’une inspiration je lui rends 8 euros en lui disant que pour les premiers clients je verse d’avance l’intérêt. Remonté chez moi installé devant mon téléphone et mon PC en train de créer le site pour attirer la clientèle, on sonne à la porte c’est mon voisin un vieux et charmant retraité que je croise chaque jour quand il promène son chien.« Excusez moi de vous déranger, je viens de parler avec Madame Germaine dans l’escalier elle m’a dit que vous pouviez me placer mon argent à 8% et même que pour les premiers clients l’intérêt était versé d’avance » Ce fut mon deuxième client et je réalisai que mon meilleur investissement en communication avait été d’avoir ma brave pipelette comme première cliente. A la fin de la semaine, tous les voisins, les commercants du quartier, grâce à l’activité verbale de Madame Germaine étaient devenus mes clients et j’étais à la tête de la somme coquette de 197555 euros et en plus comme les intérêts avaient été versés d’avance j’étais tranquille pour un an.En général j’évite d’aller à ma Banque, car avec un compte couleur tomate mure j’ai plus souvent droit aux remarques acerbes de Madame Chantal , une vieille fille imbue de son autorité de petit chef. Justement en entrant dans l’agence elle me fusilla du regard » Mr Kibeski j’allais vous appeler car il y a un de vos chèques…. » Je coupais court en lui disant que je venais pour une remise de chèques et d’espèces. Et tandis qu’elle était évacuée par le SAMU pour cause de crise d’apoplexie soudaine j’étais finalement reçu dans le bureau du Directeur de l’Agence et lui indiquais que j’allais le mettre en concurrence avec les autres banques pour le rendement de la somme importante que je venais de verser.« Cher client, inutile de perdre du temps, je peux vous proposer un rendement de l’ordre de 8% sur un Fonds de Placement particulèrement performant, alors satisfait ? »« Monsieur le Directeur, je tiens à demander plus, plus à mon argent »« Vous avez raison nous avons un autre fonds encore plus performant et réservé à nos clients privilégiés avec des performances ces dernières années oscillant selon les cours de 8 à 10% ».
Et il me montre des tableaux, des courbes, des noms de clients célèbres, pendant que je me faisais mon petit calcul, d’un coté j’emprunte à 8% et je place dans une fourchette de 8 à10, c’est jouable j’ai enfin compris le sens des affaires et en plus je suis tranquille pendant un an., ayant eu l’astuce de verser d’avance les intérêts à mes premiers clients. Un mois après, grâce à mon site Internet, et l’efficacité de ma brave pipelette de Germaine qui s’est toute seule comme une grande charger de faire ma réclame dans mon arrondissement, je fêtais mon premier million d’euros et je prospectais d’autres banques en quête d’un meilleur rendement. Mis au courant sans doute par la rumeur du client qui cherche à placer un million d’euros j’ai été invité à déjeuner dans un grand restaurant par le Directeur et son grand Patron accompagné de quelques conseillers patrimoniaux. Après les cigares et le cognac nous étions parvenus à un accord et mon million était placé sur un Fond Offshore nommé Madon Investment. Un an après installé dans de somptueux bureaux Place Vendôme, je célébrais avec mes collaborateurs le centième million du Fonds de la Kibeski United Council, puis je passais une soirée de rêve avec un mannequin fort connu et quand au petit matin je rentrai chez moi au volant de ma Porsche je me disais que j’avais réussi et que mes parents pouvaient être fiers de moi. Devant ma résidence m’attendait une petite vieille et je me demandai ce qu’elle pouvait bien me vouloir. « Bonjour Monsieur Jean, vous ne me reconnaissez pas? je suis Madame Germaine votre ancienne concierge » « Oui bien sûr, je suis confus, comment allez vous Madame Germaine ? » » Bien , bien, je ne veux pas vous embêter… mais j’ai juste besoin de mes 100 euros » Bien entendu je n’avais aucune espèce sur moi, je m’en excusais et je lui assurais que je lui ferai porter dans la journée la somme. En la quittant je ne savais pas que sa demande parfaitement justifiée était le petit grain de sable qui allait bloquer la machine. - de l’ Agence France Presse : Gigantesque fraude d’un montant estimé de 50 milliards de dollars. Mr Madon, gestionnaire du Fonds Madon est arrêté par le FBI. - de l’Agence Reuter : Dans la carambouille Madon de nombreux établissements français sont touchés comme la Natixis, la BNP, Dexia, la Société Générale, le Crédit Agricole, la KUK… - Dernière heure : Jean Kibeski le gérant du Fonds K.U.C vient d’être plaçé en garde à vue et est actuellement interrogé par la Brigade Financière, tandis que le siège de la Société fait l’objet d’une perquisition. PJ : un des fichiers saisis - d’United Press : Les enquêteurs ont découvert dans la longue liste des investisseurs spoliés par la faillitte du Fonds Madon l’existence 2 familles new-yorkaises qui auraient utilisé ce Fonds pour blanchir de l’argent provenant de ses différentes activités illicites. Le FBI estime très probable qu’un contrat ait été lançé sur la personne de Mr Madon et a décidé de lui accorder une protection rapprochée 24h sur 24. Note de l’éditeur : les affabulations de ce récit à dormir debout sont à mettre sur le compte des excés de gibolin de l’auteur. La preuve tout ceci est faux et simple affabulation.
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JAGUAR MARK VII (le félin apprivoisé) 30 novembre, 2008
Posté par P7R dans : Catégorie Générale,Récits , 1 commentaireCe dimanche matin là, le froid et la neige n’invitaient guère à la balade en vélo en Ile de France sauf pour quelques Mohicans assez maso pour apprécier et savoir ainsi que le hasard peut bien faire les choses quand au détour d’une rue versaillaise on rencontre une exceptionnelle Jaguar Mark VII sans doute l’un des premières à voir les flèches d’indication de changement de direction.
Après le phénoménal succès du modèle d’après guerre le roadster XK120 capable d’atteindre les 190km/h (120 pou 120 Miles per hour soit l’équivalent de 190 km/h) avec son moteur 6 cylindres en ligne de 3l4 de cylindrée développant 160CV, le patron de Jaguar William Lyons, qui n’était point encore Sir William (cela viendrait par la suite) estima qu’il fallait que sa firme développe une berline, grande routière confortable et performantes. Et comme on n’est jamais mieux servi que par soi même c’est lui même qui a dessiné la ligne intemporelle de cette berline 4/5 places la Mark VII. Malgré un poids imposant (1700 kilos) elle avait des performances exceptionnelles pour l’époque : vitesse maxi de 160 km/h et en accélération 0à 100 km/h en 13.4 secondes. ( Pour mémoire la plupart des berlines européennes plafonnaient à 140 km/h au début des années 50).
Paradoxalement ce modèle s’est frotté à la compétition et 2 Mark VII pilotés par les Français René Cotton (futur patron du service sport de Citroen) et Jean Heurteaux ont pris les 4ème et 6ème places du Rallye de Monte-Carlo 1952 et le grand Stirling Moss lui même a gagné plusieurs courses sur le circuit de Silverstone courses réservées aux conduites intérieures.
En 1952 mon parrain Louis possédait ce modèle et comparé à la Ford Vedette (V8 de 65 CV)de la famille j’étais bluffé par les accélérations et le luxe inouï de l’intérieur. Louis était un personnage extraordinaire, très bel homme avec une ressemblance marqué avec l’acteur Gary Grant en brun, qui avait eu une existence aventureuse en Mandchourie, en Chine puis en Indochine où pendant la guerre après avoir été torturé par la Kempétaï (une espèce de Gestapo nippone) il avait été fusillé et laissé pour mort. Par miracle il avait réchappé à cet évènement et considérant désormais qu’il était immortel il a passé le reste de sa vie à conduire des voitures puissantes qu’il poussait au maximum de leurs possibilités et quand il m’emmenait le roi était mon cousin. J’ai toujours pensé que c’était de lui que je tenais mon amour des belles voitures.
Voici les photos de celle que j’ai eu la chance de rencontrer grâce à l’alliance du vélo qui incite à musarder et du portable qui permet de saisir un moment de bonheur fugace.
Sous cet angle on peut admirer le dessin de Sir Williams, avec cette particularité très british, les roues arrières masquées par des « fenders ».
De trois quart avant la Mark VII dégage un sentiment de puissance maitrisée.
Finalement cette ligne va être reprise sur des générations de berlines Jaguar.
Le détail qui tue : la flèche qui sert d’indicateur de changement de direction.
A l’intérieur calme, luxe et volupté avec un environnement de cuir et de bois ; mais que fait cette roturière Twingo dans le décor ?
Arrière fuyant où la taille du coffre est inversement proportionnelle aux volumes des feux arrières.